Les gestes d'après

« Traverser la peur et la douleur, ne pas s’identifier à elles, cultiver un espace pour la curiosité, la joie. Jouir. La vie qui passe, non comme des feuilles qui tombent à chaque automne pour marquer un temps qui s’écoule presque mécanique, non. La vie qui passe comme un torrent passerait malgré les barrages, les contresens, les accidents, l’envie de mourir. La vie qui réussit, dès lors qu’on se met à ses côtés. »